Voici quelques images rêvées, dans les années 20, 30 et au-delà, de villes du futur.
Toutes ont en commun d'être verticales. Toutes ont en commun la disparition totale du paysage de tout élement naturel.
La tendance actuelle de l'architecture urbaine est la concentration maximum de gens sur une surface minimale.
L'un des arguments mis en avant pour justifier cette mode concentrationnaire est que ces villes verticales seront économes écologiquement, puisqu'elles réduiront les dépenses de transports. Un argument moins mis en valeur est l'intérêt économique des promoteurs à rentabiliser, au plus profitable, le foncier urbain.
Dans cette hypothèse, la plus probable aujourd'hui, voila à quoi ressembleront les grandes métropoles du futur. 80% des populations enfermées sur 20% des territoires habitables. Merveilleux, non ?
D'autres hypothèses existent. Moins simples à mettre en place peut-être...
En pratique, les villes s'étalent horizontalement en immenses banlieues pavillonnaires. Ce cauchemar s'applique plus aux bureaux qu'aux logements.
Rédigé par : DHSS | 06 novembre 2007 à 12:38
Je serais absolument favorable à la construction de campagnes dans de telles villes !!!
Rédigé par : jcm | 06 novembre 2007 à 13:02
Ecologique peut-être car elles évitent les déplacements des personnes, mais pas des denrées nécessaires à ces personnes (alimentation, énergie, matériaux...)
Rédigé par : peyu | 07 novembre 2007 à 10:28