Al Gore vient de recevoir le Prix Nobel de la Paix pour son action de sensibilisation sur les changements climatiques et notamment pour An Inconvenient Truth/Une vérité qui dérange, son documentaire oscarisé.
Ça me rappelle une séquence amusante, lors de sa venue à Paris, en octobre dernier.
Le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) partage ce prix, conjointement décerné "pour leurs efforts de collecte et de diffusion des connaissances sur les changements climatiques provoqués par l'homme et pour avoir posé les fondements pour les mesures nécessaires à la lutte contre ces changements", a déclaré, à Oslo, le président du comité Nobel norvégien, Ole Danbolt Mjoes.
On le voit, la question des changements climatiques est désormais un sujet pris en compte par les plus hautes autorités scientifiques, politiques et morales. Ce devrait être un encouragement et un aiguillon pour les travaux du Grenelle de l'Environnement qui jusqu'ici, donne chaque jour, des signes inquiétants sur ses résultats probables.
Si une politique-gadget, épargnant les intérêts des grands lobbies, devait en être le résultat, elle ne décevrait pas seulement les “écologistes“, elle serait désastreuse pour tous.
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