Voir réunies ce matin, sur les Champs-Elysées, les armées de 27 pays qui se sont tant combattues par le passé, qui ont semé tant de blessures, de malheurs et de mort, c'est évidemment un symbole historique puissant, qu'il convient de saluer. Il y a quelques années encore, cela aurait relevé de l'utopie.
Mais l'Histoire appelle d'autres symboles : viendra le jour où, pour célébrer sa conquête de la liberté, de l'égalité et de la fraternité, la France s'épargnera les défilés militaires.
bien vu José
Rédigé par : lény | 14 juillet 2007 à 20:42
oui, absolument, sauf que la paix ne sera jamais asurée, ou alors cela sgnifierait que chaque once de nature humaine aura été éradiquée, que l'utopie regnera sur des êtres deshumanisés, bref, cela n'arrivera pas.
Rédigé par : sophie | 14 juillet 2007 à 23:36
ah non ils sont trop beaux ces hommes là ! heu oui maintenant il y a des femmes qui d'ailleurs pour certaines sont ravissantes,et puis la musique et le panache c'est bien ! espérer que l'on ne connaisse plus de guerre mondiale c'est utopique, mais espérons que cette magnifique parade continue
Rédigé par : Cathy | 15 juillet 2007 à 15:26
@Sophie : la paix n'est jamais “assurée“, c'est un combat perpétuel. Lire Gandhi sur cette question.
Ton sens de la “deshumanisation“ et de la “nature humaine“ relève-t-il du goût du paradoxe, d'un pessimisme fondamental ou d'une analyse incomplète ?
S'il n'y a effectivement rien à faire sur rien, qu'est-ce qui te donne la force, l'envie ou le réflexe de te lever chaque matin ?
@Cathy, au début des années 70, il y a eu cette campagne de pub mondiale, financée par John Lennon. Ça disait simplement : “War is over (if you want it)“
C'est sûr qu'on n'est pas rendus, surtout si chacun commence par ne pas le vouloir...
Rédigé par : José | 15 juillet 2007 à 15:58
José, ( pardon, assurée avec deux s), un combat perpétuel, oui.
Donc jamais atteinte ( la paix), comme tout idéal. et ce n'est pas ne pas y croire que de s'asteindre a n'en jamais oublier la limite ( putain de phrase compliquée, tu auras compris).Il y a beaucoup a faire, dans moult domaines, l'envie de se lever le matin est moins desespérée si l'on garde cette conscience que l'on n'atteindra aucun idéal mais que l'on aura tendu a s'en rapprocher; et là se niche une formidable envie de le tenter. simplement, je suis reéaliste; Un, il reste difficile de se lever a des heures non physiologiques ( avant la fin d'une grasse matinée). Et deux, croire que cet idéal sera atteint serait aussi peu sensé que partir a toute berzingue vers un mur ( fort dangereux pour le cartilage nasal ).
gout du paradoxe, oui.pessimsme, un peu. analyse incomplète, certainement. Gout immodéré, déraisonnable et inconséquent de susciter des reactions, je l'avoue.les gens reactifs sont si vivants.
Rédigé par : sophie | 15 juillet 2007 à 22:42
la preuve, me suis levée avant 5 heures ce matin, suis infichue d'atteindre un idéal basique ( taper trois mots sans mélanger les lettres et truffer de fautes diverses). l'ideal n'est pas physiologique si tôt.
Rédigé par : sophie | 15 juillet 2007 à 22:47