“La vie est un voyageur qui laisse traîner son manteau derrière lui, pour effacer ses traces.“ - Louis Aragon, Les voyageurs de l'impériale
et, puisqu'on hante Aragon, aujourd'hui, double ration :
“Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux.“ - Louis Aragon, La Diane française
"Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson..."
On n'a pas fait mieux depuis!
Rédigé par : François | 21 décembre 2005 à 09:58
Euh. La vie est comme une personne qui creuse son trou pour laisser sa trace mais qui finit par oublier pourquoi il creuse.
Rédigé par : j. | 21 décembre 2005 à 20:14